« En général, au Québec, les gens ne sont pas habitués à boire des cafés de qualité. Il y a encore beaucoup d’éducation à faire, surtout parce que ce café-là est vu comme dispendieux. Une fois que tu goûtes à la beauté de ça, tu ne veux plus redescendre. »
Incursion dans la méthode de transformation du café honey, plus écologique et qui plaît davantage aux adeptes de la « troisième vague » de café, un mouvement de consommation qui prône le commerce direct, équitable et durable du grain à la tasse.
Mon article pour Le Devoir par ici!